ECOLO et GROEN ont lancé leur idée d’une Alliance pour le développement durable à la ville de Bruxelles.

« Nous voulons montrer que la récupération, le développement d’espaces verts et la production locale d’énergies renouvelables sont des opportunités créatrices d’emploi et d’équité sociale. Contribuant au bien-vivre en ville et à la protection de l’environnement en milieu urbain ».

Pour les écologistes de la capitale, la Ville connaît une situation de dualité importante et veulent se montrer ambitieux pour impulser une dynamique positive autour de leur « triangle d’or » Formation-Emploi-Environnement. Et avec des propositions concrètes :

– des écoles de la Ville qui sont à la pointe des techniques de récupération et de rénovation, ainsi que d’une large utilisation des énergies renouvelables, essentiellement solaires

– des « ressourceries » qui permettent de récupérer et de trier des matériaux

– des nouveaux espaces verts, dont un réseau de pockets parcs à NOH, Haren et dans le pentagone, un nouveau parc Rue de Cureghem à l’emplacement du dépôt de trams de la Stib désaffecté, et un potager urbain sur la toiture de Catteau

– une gestion plus écologique des espaces verts existants dont notamment le Parc de Bruxelles, le parc de Meudon et le Bois de la Cambre

– le développement des énergies renouvelables produites sur le territoire de la Ville, qui fait de notre ville la « championne régionale» dans ce domaine.

Récupérer, travailler et réutiliser les matériaux et produits de construction

Pourquoi ?
Plus du tiers des déchets générés en Région bruxelloise sont des déchets de construction et de démolition, provenant des chantiers de rénovation et nouvelle construction. Cette fraction est loin d’être négligeable… et s’accompagne d’un constat préoccupant : terminent dans les containers et parcs à conteneur bien trop souvent des matériaux et produits considérés comme des déchets car ils n’avaient plus d’utilité apparente là où ils se trouvaient. Mais ce qui est considéré superflu ou inutile par l’un peut trouver dans bien des cas une seconde vie ailleurs ! Une poutre en bois démolie sur chantier devrait plutôt être démontée et stockée, afin qu’elle trouve une nouvelle utilisation dans un autre bâtiment ou lieu. Un évier de cuisine au parc à conteneurs ou collecté comme encombrant vaut bien plus que du vieux métal à recycler. Et une porte en bois, en bon état mais nécessitant un travail de remise en état, n’est pas que du bois à broyer.

Ces matériaux, trop facilement relégués au statut de « déchet » et remplacés par des éléments neufs, ont un potentiel énorme. Ce secteur permet la création d’emplois au niveau de qualification faible à modéré, permet aux personnes financièrement moins aisées de se procurer des matériaux de qualité, et contribue activement à la limitation des impacts environnementaux liés aux travaux de construction et de rénovation.
Pour qui ?
Riverain ou maître d’ouvrage communal, vous rénovez un bâtiment et avez besoins de matériaux ? Vous cherchez une porte intérieure, des chevrons en bois, des carrelages ? Des poutres en bois, des châssis ? Sur votre chantier, si petit ou grand qu’il soit, se trouvent des matériaux ou éléments qui ne vous sont plus utiles ?

Rendez-vous à La Ressourcerie ou au Dépôt !
Comment ?
La Ressourcerie accueille les éléments récupérés et réutilisables de petite et moyenne taille, organise leur remise en état ou transformation, et les remet en vente : des produits avec une âme, travaillés par des gens du métier (atelier de menuiserie, par exemple) formés dans le cadre du projet et remis sur le marché. Elle est également alimentée par les éléments récupérés dans les parcs à conteneurs, où des personnes formées à cet effet évaluent la possible réutilisation de ce qu’on y dépose.

Implanté dans le bas du quartier des Marolles, en milieu urbain dense, elle offre un excellente alternative aux trajets longs jusqu’aux parcs à conteneurs communaux pour les éléments réutilisables. La Ressourcerie se déplace à votre domicile.

Le Dépôt est le pendant de La Ressourcerie pour les éléments lourds ou de grande taille, comme les poutres, les briques, les tuiles de toiture,… Comme La Ressourcerie, le Dépôt accepte des éléments récupérés réutilisables tels quels, ou moyennant une remise en état faisable. Vous pouvez vous y rendre par vous-même, ou une collecte peut être organisée. Implanté le long du bassin Vervotte, il bénéficie de la proximité des voies d’eau, itinéraire de transport durable peu exploité par notre ville, et du port de Bruxelles. Un potentiel évident à exploiter, en dotant Le Dépôt d’un embarcadère !

Emploi et économie ?

Pour la remise en état ou la transformation de ces produits et matériaux, La Ressourcie et le Dépôt travaillent en lien étroit avec les nombreuses filières professionnelles que comptent Bruxelles. Formation professionnelle à haute valeur ajoutée, création d’emplois durables liés au travail de la matière, économie durable et sociale, solidarité : des opportunités hautement pertinentes et prometteuses !

Dans notre commune ?
Bruxelles regorge de potentiel. Notre proposition autour de la récupération et réutilisation n’est pas une utopie : de nombreuses villes européennes ont développé ce type de projets, et les résultats ont dépassé les attentes. La Région bruxelloise mène, elle aussi, ce type de réflexions, notamment dans le cadre de l’Alliance Emploi-Environnement et le 4e Plan Déchets. La prochaine étape est la mise en oeuvre concrète de ces objectifs.

Bruxelles doit relever ce défi et se profiler comme ville-pilote, y intégrer les associations professionnelles, de formation, les ateliers et métiers implantés sur son territoire, et une collaboration avec les autres communes de la région. Bruxelles comme pilote d’un projet prometteur, profitant aux habitants de son territoire : une ambition plus que jamais pertinente … Relever le défi du changement et entamer la transition passe par un véritable investissement !
Et les grands chantiers communaux ?
Bruxelles se doit d’être exigeante pour ses propres chantiers, et mettre en oeuvre une véritable stratégie de déconstruction, récupération et réutilisation, des bâtiments et des éléments et matériaux qui les composent.

Le centre administratif du boulevard Anspach doit faire l’objet d’une proposition de rénovation qui intègre tous les éléments-clé de la ville durable : économies d’énergie, éco-rénovation, choix écologique des matériaux, développement de la nature, gestion de l’eau, confort et santé,… Organisons un concours à idées, et inscrivons la déconstruction soignée des éléments et matériaux présents dans les exigences de base : ce qui y est enlevé trouvera, par le projet-pilote Ressourcerie-Dépôt, une nouvelle, seconde vie…

Bruxelles ville durable : une question de volonté, ambition et vision politique, taillée sur les besoins de notre territoire et ses habitants, et où les processus participatifs à développer dans tous ces projets sont un élément-clé à leur réussite.

En fin de compte :
–     Réseau d’accueil de matériaux et produits de construction issus de la récupération et réutilisable
–     Ce qui est encore utilisable ne devient plus un déchet mais est valorisé de façon optimale
–     Economie de ressources, d’énergie, d’eau, économie financière en raison de l’achat de produits récupérés dans un encadrement soutenu par la commune
–     Des lieux où déposer ce qui n’a plus d’utilité pour vous mais peut être réutilisé
–     Des lieux où vous fournir, à prix avantageux, en matériaux et produits de construction
–     Création d’emplois dans l’économie sociale et solidaire
–     Mise en lien avec les ateliers et métiers liés au patrimoine et aux éléments de construction, formations professionnelles, emplois à haute potentiel dans le cadre du développement d’un réseau régional

Des espaces verts, de loisirs et de détente : des parcs de qualité, à proximité et bien gérés

Pourquoi ?
En milieu urbain dense, les espaces publics apportent la respiration et les lieux de convivialité accessibles à tous, essentiels au bien-être et au bien vivre ensemble. Ce sont les lieux où les habitants des quartiers et les usagers de la ville profitent d’un espace vert, d’une plaine de jeux, d’une bulle de détente en dehors de leur logement ou bureau.

Si notre commune compte sur son territoire des parcs et bois de grande superficie, ces espaces sont très concentrés dans certaines zones, loin des quartiers les plus denses. Se rendre en famille au parc de Bruxelles, au Jardin du Fleuriste – parc Sobieski ou au Bois de la Cambre est pour beaucoup d’habitants une véritable excursion en soi : un trajet souvent réservé au weekend.

Notamment à Laeken ou dans le Pentagone, bon nombre de quartiers ne disposent pas d’espaces verts, de loisirs et de détente de proximité, et lorsqu’il y en a, ceux-ci sont rapidement saturés en raison du manque d’un maillage de petits espaces publics accueillants, bien conçus et adaptés à la densité de population du quartier et/ou de celle des quartiers avoisinants. La saturation de ces espaces, ainsi que l’inadéquation de ceux-ci avec la diversité des usages et tranches d’âge empêche tantôt que les personnes plus âgées, tantôt celles à mobilité réduite ou encore les familles de s’y rendre, car la conception et l’aménagement de l’espace vert, de loisir, de détente n’est pas approprié. Une plaine de jeux qui ne comprend pas de zone de repos, plus tranquille et végétalisée, est peu appréciée par ceux cherchant un bol d’air au calme.

Et… les espaces verts rafraîchissent la ville ! En milieu urbain, un espace public pavé et sans végétation augmente localement la température de 2°C en période de forte chaleur: c’est beaucoup. Les espaces plantés diminuent légèrement cette température, grâce à l’évaporation d’eau par les plantes.

Bruxelles manque d’espaces verts, de loisirs, de détente et de jeu adaptés aux besoins des habitants, et situés à des distances confortables : un quartier sans un tel espace adapté à la densité de population et aux besoins locaux, situé à moins de 400m manque d’un équipement public nécessaires au bien-être de ses habitants. De plus, l’eau y est rarement vue autrement que par des fontaines. Des éléments d’aménagement intégrant les jeux d’eau constituent pourtant une plus-value et sont des lieux de convivialité où se plaisent enfant et adultes de tout âge ! Et des fontaines à eau potable permettent de se désaltérer!

Pour qui ?
Pour vous ! Tous ces espaces relèvent de la compétence de la Ville. Si certains parcs sont gérés par les services régionaux, les pouvoirs publics communaux sont aussi compétents en matière de lieux publics, espaces verts et de loisirs, et plaines de jeux. Et la réflexion et politique en la matière doit être menée de façon concertée, globale, s’appuyer sur un diagnostic fin et – d’importance capitale – prendre en compte les réels besoins des habitants et les spécificités des quartiers. Vous êtes les experts de votre quartier, c’est donc vous qui êtes le mieux à même d’informer et d’instruite la commune sur les besoins dans votre voisinage, les manques, les éléments spécifiques à prendre en compte !

Comment ?
En analysant la situation actuelle en matière d’espaces verts, de loisirs, de détente et de jeux à l’échelle micro, au moins celle du quartier et jusqu’à l’échelle de l’îlot, de la rue.

Notre proposition comprend deux actions : l’aménagement de pocket parcs ou parcs de poche et l’analyse par les pouvoirs communaux des opportunités pour l’installation d’espaces verts de plus grande taille. Dans les deux cas, la qualité de ces espaces se doit d’être élevée, et leurs fonctions et aménagements doivent répondre aux besoins locaux, et fortement impliquer la participation des habitants et usagers par une approche participative digne de ce nom.
Parcs de poche ?
Les « pocket parcs » ou parcs de poche sont des espaces verts de petite taille, s’implantant sur des surfaces de taille peu ambitieuse. Leur aménagement est plus aisé que celui des grands parcs, pour lesquels il est nécessaire de trouver des terrains de taille considérable et libres. Leur conception s’appuie sur un véritable partenariat ville-habitants, par une approche participative poussée.

Des terrains en friche peuvent être investis, même à titre provisoire : actuellement, la résistance au niveau communal à l’aménagement, même pour quelques années seulement, de zones vertes et de détente sur ces parcelles en friche est grande (par exemple, les habitants de Haren n’ont pas accès à un terrain situé rue Cortenbach pourtant en friche et pour une période deux ans avant construction). Pourtant, dans les communes avoisinantes, les exemples sont légion, et les projets y sont portés par la population locale, avec la commune comme partenaire. Pourquoi pas à Bruxelles ?

Mais il y a également de nombreuses possibilités dans les espaces publics existants ! Le réaménagement des boulevards du centre pourrait, comprendre des zones vertes, offrant un contact avec la nature différent de celui des bacs en béton plantés. Et les places de notre commune ? Elles sont hautement minéralisées, couvertes de pavés, de pierres et de parkings. Récupérons-y des surfaces dédiées au bien-être et à la présence de la nature en ville, en repensant la politique de mobilité.
De nouveaux espaces verts ?
Nous proposons la création d’un nouveau parc dans le Centre Ville, à l’emplacement du dépôt de la Stib situé rue de Cureghem. Celui-ci doit déménager dans 3 ans. Ce quartier manque cruellement d’espaces verts, alors qu’une population jeune et avec des enfants y habite. La Ville doit racheter, avec l’aide de la Région, cet espace et le consacrer aux habitants. Un projet respectant la mémoire de ce lieu historique des transports bruxellois est possible et souhaitable.

Si le pentagone offre moins facilement des lieux d’opportunité, Laeken et Neder-over-Heembeek comptent des espaces de grande taille non développés actuellement. Pour ces sites, la Ville doit décider d’y implanter un espace vert de grande taille au profit du quartier. Une question de volonté, et un excellent moyen d’arriver à créer des espaces de qualité au niveau d’un quartier, en accord – cela n’empêche – avec le développement de ces sites.

Bien gérés et préservés ?
Tout espace public vert ou plaine de jeu doit être entretenu, géré. Pelouse, buissons et fleurs en rangée… l’allure générale de nos espaces verts est souvent purement fonctionnelle. Mettons-y en œuvre une gestion différenciée, plus respectueuse de la nature, profitant à la faune et à la flore, un recours à des modes alternatifs de désherbage. Tondre ou ne pas tondre, faucher,…, ça vous change un parc, de l’aspect qu’il a, jusqu’au plaisir de ceux en charge de l’entretien ! Le Bois de La Cambre est un excellent espace vert-pilote.

Les espaces verts de notre ville doivent être préservés : ils sont essentiels au métabolisme de la ville, au bien-être de ses habitants, et ne peuvent être considérés comme des sites à haut potentiel de développement immobilier. Leur maintien et gestion adaptée sont vitaux au bien-être des habitants de la ville, et leur renforcement en termes de biodiversité est plus que souhaitable, et profite à la faune de la région toute entière !
Les toits de la ville : espaces d’opportunité inexploités

Pourquoi ?
Les bâtiments de notre commune sont couverts par des toitures : rien de plus logique. Ces surfaces en hauteur peuvent jouer un rôle bien plus grand que celui de simple couverture. Et pourtant, les exemples de leur mise à profit sont très, très rares à Bruxelles…

Pensez énergie : c’est en toiture qu’on pose des panneaux solaires qui chauffent l’eau de bain et celle de la cuisine rien qu’aux rayons solaires, les panneaux photovoltaïques qui transforment l’énergie solaire en électricité, et même les éoliennes de petite taille, adaptées au milieu urbain, quand la hauteur du bâtiment dépasse considérablement celle des constructions voisines.

Pensez potagers urbains et jardins : cultiver des fruits et légumes en ville, c’est possible ! Une production locale, au fil des saisons, sur des toitures plates bien exposées au soleil, arrosées par l’eau de pluie récoltée dans un réservoir et balayées par les vents : rien de plus simple, et ce entre habitants d’un quartier, d’une rue, avec les élèves d’une école,… Se rencontrer, gérer ensemble des plants, récolter, même cuisiner… Un projet citoyen que nous n’inventons pas : comparé aux communes qui nous entourent, Bruxelles est à la traine !

Pour qui ?
Habitants, écoliers, acteurs associatifs et/ou professionnels locaux, réseaux d’agriculteurs urbains d’autres communes…

Comment ?

En mettant à profit les toitures inexploitées des bâtiments publics: administration, écoles, immeubles de logement, centres sportifs et culturels,… Et en déterminant, par une analyse fine du contexte local, des réseaux présents et en collaboration active avec les habitants, ce qui est le plus pertinent. Ecolo et Groen souhaitent réfléchir avec vous, en véritable partenaire, au projet à monter. Et c’est vous qui le prenez en main, soutenus par la commune.

Mais où ça alors ?
Les Bruxellois situeront ces potagers. Notre rôle sera de vous proposer la réflexion, d’être à votre écoute, et de vous assister au mieux possible dans l’élaboration d’un projet. Ces projets vous permettront de participer véritablement, en tant qu’acteur privilégié et expert local.

À titre d’exemple, nous vous proposons quelques idées qui nous sont venues en tant que citoyens, aussi, de la Ville.


Un potager urbain sur le toit de l’athénée Robert Catteau

En contrebas de la Place Poelaert se trouve l’athénée Robert Catteau, un magnifique bâtiment qui bénéficie, en plus, d’une surface de toiture plate importante.

Aventurons-nous sur ce toit, avec un potager ! Accessible depuis la place, il surplombe les rues environnantes et les cours de l’école. Imaginez un garde-corps adapté, un accès au toit ouvert entre 8h et 20h, avec un intendant ou une asbl ou comité de quartier, assurant une permanence certains jours de semaine et assumant la responsabilité du projet.

Imaginez les bacs à plantation, une serre, des petits chemins en copeaux de bois, vous, vos voisins, que vous connaissez déjà ou dont vous faites la connaissance en semant des courges, et plantant des tomates,… Et le potager qui profite également à l’école : les élèves qui participent, leurs parents, la cantine de l’école qui composte ses déchets et produit ainsi des engrais naturels… Tout est possible !

Carottes, tournesols, citrouilles, framboises,… les réseaux sont là pour vous encadrer, vous aider, allant de celui des Maitres-Composteurs (bénévoles) à celui de collectifs ayant déjà initiés plusieurs potagers de ce type dans d’autres communes.


De la production d’énergie locale sur les toits des grands immeubles

Certains bâtiments communaux ont des toitures propices à l’installation de panneaux solaires : c’est le cas pour la grande majorité des bâtiments administratifs et des immeubles de logement. Y installer ces moyens de production d’eau chaude permet d’alléger considérablement la facture énergétique des ménages. Votre commune peut décider d’investir dans ces équipements : la décision lui appartient. Dans tous les cas, les opportunités sont là !

Nous proposons que la Ville de Bruxelles devienne « championne » de la production d’énergie renouvelable. Nous souhaitons créer une coopérative, ouverte aux associations, aux habitants et aux entreprises pour la production d’énergie renouvelable.

Par ailleurs, l’énergie éolienne, elle aussi, a sans doute du potentiel en ville ! Un immeuble élevé ? Des courants de vents dominants propices ? Pensez micro-éolienne ! Bien différentes des grandes éoliennes vues le long des autoroutes belges, elles sont particulièrement adaptées aux toits des bâtiments, et nettement moins visibles. Il y a du potentiel pour ce type d’installation sur les tours que compte notre commune.

Marie Nagy – tête de liste ECOLO-GROEN – 0475/317.107
Bart Dhondt – 2ème sur la liste ECOLO-GROEN – 0484/402.690
Liesbet Temmerman – 7ème sur la liste ECOLO-GROEN – 0478/416.603