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Le revenu mĂ©dian par mĂ©nage est, Ă  la Ville de Bruxelles, un des plus bas de la RĂ©gion et a fortiori du pays. Le CPAS est le pivot de l’action sociale mais il doit travailler en partenariat avec les autres Ă©chevinats et avec l’ensemble des acteurs locaux afin d’élargir les possibilitĂ©s d’interventions efficaces prĂ©ventives et curatives ainsi que pour toucher tous les publics prĂ©carisĂ©s. Les moyens et les actions doivent ĂȘtre adaptĂ©s aux diffĂ©rents publics tout en favorisant les liens sociaux via des initiatives collectives (ateliers, systĂšmes d’échanges locaux (SELs) 
). Le CPAS doit se concentrer sur ses missions sociales comme assurer un accĂšs Ă  des soins de santĂ©, au logement et participer Ă  l’insertion socio-professionnelle de ces publics.

Ecolo et Groen proposent des mesures ciblées pour nos aßnés et les personnes handicapées afin de les impliquer dans la vie de leur commune et assurer leur autonomie par des infrastructures adaptées.

 

A. Situation socio-économique de Bruxelles

1. Le boom dĂ©mographique.  La population de la Ville de Bruxelles connaĂźt une croissance qui la conduira, en appliquant les projections du Bureau FĂ©dĂ©ral du Plan, Ă  quelque 178.000 habitants en 2030 contre 158.000 habitants en 2009, soit une augmentation de 20.000 habitants en 20 ans.  Cette augmentation de la population s’inscrit dans une dynamique d’accroissement de l’espĂ©rance de vie.

2. La situation socio-Ă©conomique.  Le revenu mĂ©dian par mĂ©nage est, Ă  la Ville de Bruxelles, un des plus bas de la RĂ©gion et a fortiori du pays.  Il renvoie aussi Ă  des diffĂ©rences trĂšs importantes au sein de la commune en ce qui concerne les revenus des habitants : le quartier Nord et l’Avenue Louise ne sont, par exemple, pas logĂ©s Ă  la mĂȘme enseigne.  Il faut dire que la Ville de Bruxelles dĂ©passe la moyenne rĂ©gionale avec un taux de chĂŽmage Ă©levĂ© ou bien encore en ce qui concerne la proportion d’élĂšves entrant en premiĂšre annĂ©e du secondaire avec au moins 2 ans de retard.  L’espĂ©rance de vie moyenne est une des plus basses de toute la RĂ©gion.  Comme d’autres communes de la premiĂšre couronne, la Ville de Bruxelles bat de bien tristes records avec un nombre Ă©levĂ© de revenus d’intĂ©gration et d’enfants vivant dans des mĂ©nages sans revenus du travail.  (Source : Observatoire SantĂ© 2011).  A l’instar de quelques autres communes de la 1e couronne, ajoutons d’autres particularitĂ©s parmi lesquelles une grande diversitĂ© culturelle, mais aussi une situation Ă©conomique alarmante, un logement coĂ»teux, une fracture sociale grave, des liens interpersonnels trop frĂ©quemment distendus, un taux important d’analphabĂ©tisme et de sous-qualification, l’exclusion des allocations de chĂŽmage, beaucoup de personnes sans abri, beaucoup de surendettement et, comme la problĂ©matique de l’accueil ne cesse de se dĂ©tĂ©riorer, une prĂ©sence nombreuse de personnes qui ne trouvent pas place dans les structures fĂ©dĂ©rales de FEDASIL 


B. Les préalables indispensables pour une action sociale cohérente et efficace

1. Aide et dignitĂ© pour tous.  Le citoyen doit pouvoir trouver des rĂ©ponses Ă  ses problĂšmes qu’ils soient liĂ©s Ă  la prĂ©caritĂ©, Ă  l’ñge, au handicap, Ă  la maladie, Ă  son statut, Ă  la perte d’un emploi, aux circonstances familiales ou simplement Ă  la malchance.  Au vu de la diversitĂ© des publics cibles, les politiques sociales dĂ©veloppĂ©es au niveau local doivent ĂȘtre transversales pour rĂ©pondre au mieux aux besoins des citoyens et lutter efficacement contre les causes de l’exclusion et la pauvretĂ©, mĂȘme si la plupart de ces causes relĂšvent du niveau fĂ©dĂ©ral.

2. IntersectorialitĂ©.  Le CPAS est le pivot de l’action sociale mais il doit travailler en partenariat avec les autres Ă©chevinats et avec l’ensemble des acteurs locaux afin d’élargir les possibilitĂ©s d’interventions efficaces prĂ©ventives et curatives ainsi que pour toucher tous les publics prĂ©carisĂ©s. A la Ville plus qu’ailleurs sans doute, les absences de synergies entre les services communaux et le CPAS de mĂȘme que le dĂ©doublement de l’offre de services publics sont manifestes et ce tant pour les crĂšches que pour le service emploi ou les logements publics. Cela pĂšse non seulement sur la qualitĂ© des services mais Ă©galement sur l’efficacitĂ© des moyens publics mis en Ɠuvre. Une plus grande transversalitĂ© est donc indispensable.  A cette fin, nous plaidons d’ailleurs pour des guichets uniques dans lesquels les services seraient prĂ©sents, par exemple pour toute matiĂšre concernant le logement, ou pour les services pour les personnes ĂągĂ©es (aides Ă  domicile, aides Ă  la mobilitĂ©).

3. Identification et adĂ©quation.  On n’agit bien que quand on connaĂźt bien.  Il convient donc, d’une part, d’établir un inventaire des ressources et services offerts par la Ville et, d’autre part, de le confronter aux besoins finement diagnostiquĂ©s par l’ensemble des acteurs.  Il est intĂ©ressant de disposer d’une carte sociale avec, par quartier, une analyse des besoins et des objectifs concrets.  C’est sur cette base que l’offre pourra ĂȘtre adaptĂ©e, complĂ©tĂ©e, ajustĂ©e au mieux aux besoins des diffĂ©rents publics : accueil des enfants en bas Ăąge, soutien aux personnes ĂągĂ©es, aide aux personnes victimes de violences conjugales, logements de transit, aide Ă  la (mono)parentalitĂ©, aide aux dĂ©placements…

C. Nos priorités pour le CPAS

Le CPAS de la Ville de Bruxelles est hors norme de par son histoire, l’ampleur de ses moyens financiers et immobiliers, sa situation au centre des flux migratoires, ses structures hospitaliĂšres, les problĂšmes de prĂ©caritĂ© extrĂȘme auxquels il est confrontĂ© en tant qu’acteur de premiĂšre ligne d’une capitale vers laquelle convergent toutes les difficultĂ©s.

Par ailleurs, le contexte social de plus en plus difficile entraĂźne une marginalisation croissante de publics pour qui la connaissance mĂȘme de leurs droits et des moyens de les faire valoir n’est plus Ă©vidente.  En tant qu’opĂ©rateur de premiĂšre ligne, le CPAS a Ă©galement la responsabilitĂ© d’atteindre ces publics grĂące Ă  une politique d’information accessible.

En lien avec les autres Ă©chevins (et plus particuliĂšrement les Ă©chevins de la famille, de la jeunesse, de l’égalitĂ© entre femmes et hommes, de la culture), ainsi qu’avec les acteurs associatifs de terrain, il faut davantage inscrire le CPAS dans la politique communale en tant qu’acteur public intĂ©grĂ©.

1. Garantir les moyens nĂ©cessaires Ă  une aide sociale de qualitĂ©.  MĂȘme si le financement du CPAS dĂ©pend surtout du fĂ©dĂ©ral (avec une contribution rĂ©gionale), la Ville doit garantir Ă  son CPAS les moyens complĂ©mentaires financiers[1]et humains suffisants pour faire mieux face Ă  l’augmentation des demandes d’aide sociale et Ă  la complexitĂ© accrue des problĂ©matiques tout en donnant aux assistants sociaux de bonnes conditions de travail.  Cette aide complĂ©mentaire est indispensable pour poursuivre, entre autres exemples, le soutien Ă  l’accĂšs au logement, Ă  la culture, Ă  la formation et Ă  l’emploi et pour soulager les factures Ă©nergĂ©tiques au travers d’une guidance individualisĂ©e.

2. De l’individuel au collectif.  Autant il est important d’amĂ©liorer la situation financiĂšre et la qualitĂ© de vie de chaque usager, autant il est indispensable de favoriser les liens sociaux. Le CPAS peut encourager ces liens via des ateliers (Ă©nergie, alimentation, clĂ©s pour la citoyenneté ), de l’échange de services (par le soutien aux SELS – systĂšme d’échange local), des processus participatifs dans le dĂ©veloppement des quartiers, ou des initiatives telles que des jardins collectifs, des composts communs, des maisons de quartier


3. SantĂ©. Acteur important en matiĂšre de santĂ© et d’accĂšs aux soins, le CPAS doit poursuivre l’intĂ©gration dans la carte mĂ©dicale des actions de prĂ©vention et de promotion de la santĂ©.  Il est Ă©galement indispensable que ces interventions ne cessent pas brutalement dĂšs lors qu’une personne n’est plus inscrite au CPAS.  Un systĂšme de sortie progressive doit corriger les piĂšges Ă  l’emploi.  En concertation avec l’échevin ayant cette compĂ©tence de santĂ©, il y aura lieu de mettre en place des politiques volontaristes : encourager des comportements bons pour la santĂ© via, par exemple, des cours de cuisine et des parcours santĂ©, fournir l’information sur les lieux de soins, soutenir le regroupement des professionnels de premiĂšre  ligne


4. Logement.  Depuis 6 ans, le CPAS s’est vu confier par le CollĂšge la coordination du plan « 1000 logements ». Si le bilan quantitatif est indĂ©niable, il est indispensable, Ă  l’avenir, d’inscrire la politique de logement dans une rĂ©elle vision de la ville, avec une planification urbanistique Ă  l’échelle des quartiers : c’est-Ă -dire en lien avec les habitants et en rĂ©pondant aux besoins collectifs (Ă©coles, structures de soins…) qu’implique la construction de ces nouveaux logements.

5. Insertion sociale et socioprofessionnelle.  Le CPAS est un acteur majeur de la politique d’insertion et de mise Ă  l’emploi et les efforts qu’il dĂ©ploie doivent contribuer Ă  un parcours d’insertion formateur qui soit un rĂ©el marchepied vers l’emploi. Une continuitĂ© dans le parcours de rĂ©insertion doit ainsi ĂȘtre recherchĂ©e avec l’ensemble des acteurs et opĂ©rateurs du secteur de l’ISP (insertion socioprofessionnelle), indĂ©pendamment du statut du bĂ©nĂ©ficiaire (RIS Ă  charge du CPAS ou DE, demandeur d’emploi Ă  charge d’Actiris).  Ici aussi, la collaboration avec les autres services de la Ville et de la RĂ©gion doit ĂȘtre intensifiĂ©e et tous les services intĂ©grĂ©s dans La Maison de l’Emploi et de la Formation de la Ville.  En plus, le CPAS ne limitera pas son travail Ă  de l’insertion professionnelle mais il participera Ă  un vĂ©ritable travail d’insertion et d’émancipation sociale et culturelle.

6. L’associatif.  Toute la demande culturelle, sociale ou de santĂ© n’est pas rencontrĂ©e par les asbl communales.  A cĂŽtĂ© d’elles travaillent des associations dont l’existence est parfois menacĂ©e Ă  cause d’un manque de subsides.  Pourquoi certaines associations reçoivent-elles des subsides et d’autres pas ?  Pourquoi tel a droit Ă  une salle ou Ă  du matĂ©riel et pas tel autre ?  Pour Ă©clairer les choix en la matiĂšre, les Ecologistes exigent des critĂšres, de la transparence et une procĂ©dure objective.  Par ailleurs, les structures para-communales ne peuvent concurrencer les associations qui existent mais par contre elles doivent travailler Ă  la complĂ©mentaritĂ©.

D. Nos priorités pour les aßnés

Une des changements les plus marquants de ces derniĂšres dĂ©cennies est l’allongement de l’espĂ©rance de vie, une vĂ©ritable rĂ©volution grise en quelque sorte. Cette situation historiquement nouvelle d’une sociĂ©tĂ© oĂč se cĂŽtoient de nombreuses gĂ©nĂ©rations impose que l’on rĂ©flĂ©chisse Ă  des politiques globales prenant mieux en compte les besoins et ressources des personnes ĂągĂ©es.

Les Ecologistes, convaincus que les aĂźnĂ©s contribuent au dĂ©veloppement de la collectivitĂ©, veulent aller plus loin dans l’affirmation d’une sociĂ©tĂ© intergĂ©nĂ©rationnelle et donner des rĂ©ponses plus adaptĂ©es aux besoins des aĂźnĂ©s en termes d’amĂ©nagement des logements, d’urbanisme, de sports, de loisirs, de sĂ©curitĂ©, d’accĂšs aux soins


1. Participation.  Tous les services de la Ville et du CPAS doivent ĂȘtre sensibilisĂ©s Ă  la rĂ©alitĂ© des aĂźnĂ©s et les informer au mieux des sujets susceptibles de les intĂ©resser (distribution de repas, activitĂ©s culturelles, transports, aides et gardes Ă  domicile
). Par ailleurs, il convient d’associer les aĂźnĂ©s aux politiques communales, d’étudier leurs propositions et ce, particuliĂšrement via le Conseil Consultatif des Seniors.  Il faut offrir aux aĂźnĂ©s la possibilitĂ© de valoriser leurs savoirs et expĂ©riences, notamment en leur proposant de prendre des initiatives ou de prolonger une activitĂ© lorsqu’ils le souhaitent que ce soit sous la forme de bĂ©nĂ©volat ou d’emploi.

2. Des lieux publics accessibles.  Pour participer, les aĂźnĂ©s doivent pouvoir Ă©voluer dans une commune oĂč les services, les infrastructures (hospitaliĂšres, sportives
.) et l’espace public sont aussi accessibles que possible.  Cela nĂ©cessite, par exemple, des phasages de feux plus respectueux pour ceux qui marchent moins vite, des bordures moins Ă©levĂ©es, des lieux propres, des bancs, des toilettes.  Les aĂźnĂ©s pourront se rendre Ă  des consultations mĂ©dicales ou participer Ă  des activitĂ©s socioculturelles, grĂące Ă  un service de taxis sociaux.

3. De l’autonomie Ă  la dĂ©pendance. Avancer dans l’ñge signifie souvent perdre en autonomie et nĂ©cessite des rĂ©ponses variĂ©es.  Pour les plus autonomes, les autoritĂ©s communales doivent soutenir des initiatives telles que des rĂ©sidences-services sociales, les flats services, de l’habitat groupĂ© (style Abbeyfield[2]) et intergĂ©nĂ©rationnel (maisons kangourous, kots intergĂ©nĂ©rationnels).  Elles doivent Ă©galement dĂ©velopper et soutenir des initiatives pour faciliter le maintien Ă  domicile (repas, soins, tĂ©lĂ©-vigilance, services de petites rĂ©parations
).  Dans la construction de logements publics, la Ville et le CPAS doivent intĂ©grer les principes de « l’habitat Ă  vie » ou « levenslang wonen » c’est-Ă -dire que les logements soient adaptables aux normes des personnes (devenues) Ă  mobilitĂ© rĂ©duite.  Pour ceux qui sont davantage dĂ©pendants, la maison de repos peut ĂȘtre une solution intĂ©ressante si elle reste ouverte sur le quartier, si elle associe les aĂźnĂ©s Ă  la vie de l’institution et au bien-ĂȘtre collectif.  Il faudra Ă©valuer les besoins et y rĂ©pondre.

E. Nos priorités pour les personnes handicapées

Au mĂȘme titre que tous les autres habitants, les personnes en situation de handicap (physique, mental, sensoriel) sont des citoyens Ă  part entiĂšre.  Pour qu’il en soit ainsi, leurs spĂ©cificitĂ©s exigent des rĂ©ponses adaptĂ©es.  Mais, la politique des personnes handicapĂ©es ne peut ĂȘtre une politique Ă  part, bien au contraire, elle doit ĂȘtre inclusive : toutes les politiques de la Ville doivent ĂȘtre rĂ©flĂ©chies en tenant compte de leurs spĂ©cificitĂ©s.

1. Une rĂ©fĂ©rence.  Une personne de rĂ©fĂ©rence, dĂ©signĂ©e et clairement identifiĂ©e au sein de l’administration, doit pouvoir aider les personnes en situation de handicap et faire le relais avec le « Conseil consultatif de la personne avec un handicap ».  Ce fonctionnaire de rĂ©fĂ©rence, formĂ© aux problĂ©matiques liĂ©es aux diffĂ©rents handicaps, connaissant la langue des signes, doit ĂȘtre garant de l’accompagnement des personnes dans leurs demandes de services et initier des actions nouvelles (formation du personnel d’accueil au handicap et Ă  la langue des signes, informations en braille, service fax/SMS pour personnes sourdes
).

2. L’accessibilitĂ© aux bĂątiments.  La Ville doit maximiser l’accessibilitĂ© des bĂątiments publics (Ă©coles avec classes adaptĂ©es inclusives, crĂšches, administration, logements sociaux
) et ce en tenant compte des caractĂ©ristiques spĂ©cifiques de chaque handicap.  Pour ce faire, les bĂątiments publics neufs devront impĂ©rativement rĂ©pondre aux lĂ©gislations existantes et tandis que des adaptations doivent ĂȘtre prĂ©vues et mises en Ɠuvre pour le bĂąti plus ancien.  Un nombre suffisant de toilettes publiques bien entretenues ne serait pas du luxe et, Ă©videmment, ces toilettes doivent ĂȘtre accessibles aux personnes handicapĂ©es.

3. La mobilitĂ©.  En ce qui concerne la voirie, des « boucles » complĂštes accessibles permettront aux personnes Ă  mobilitĂ© rĂ©duite de se mouvoir sans ĂȘtre Ă  un moment stoppĂ©es dans leur parcours.  Il faut aussi garantir un nombre suffisant de places de stationnement pour les personnes handicapĂ©es.

4. Le travail.  La Ville doit montrer l’exemple et rĂ©pondre aux dispositions lĂ©gales qui exigent un quota minimum de personnes handicapĂ©es.  C’est la loi !  En outre, les services communaux doivent davantage faire appel aux entreprises de travail adaptĂ© pour l’exĂ©cution de leurs marchĂ©s publics.

5. Les lieux de vie.  La Ville doit aider les personnes handicapĂ©es qui souhaitent vivre dans leur domicile par des interventions sociales et des aides familiaux ayant une bonne formation au handicap ainsi que par des adaptations au logement.  Elle doit s’impliquer dans des projets de lieux d’accueil ou de rĂ©pit.  Les Ecologistes soutiennent l’idĂ©e d’investir dans la mise en Ɠuvre de logements communautaires pour les personnes handicapĂ©es et, bien Ă©videmment, dans chaque lot de nouveaux logements, un pourcentage d’appartements conçu pour les personnes handicapĂ©es sera prĂ©vu.

 


[1] Pour se faire une idĂ©e, le CPAS reçoit de la Ville 56.896.100 € sur un budget total de 259.485.600 €

[2] Concept d’habitat groupĂ© avec des volontaires qui aident des aĂźnĂ©s le plus souvent isolĂ©s mais autonomes Ă  partager un cadre de vie Ă©panouissant.

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